FloriLettres

FloriLettres est une revue littéraire, numérique et mensuelle créée en 2002 par Nathalie Jungerman pour la Fondation La Poste. Consacrée à l'écriture épistolaire, biographique et autobiographique, elle promeut les livres et les manifestations culturelles à travers un choix de correspondances, journaux personnels, essais, carnets, récits ou romans. Chaque édition offre un dossier sur un sujet particulier qui comprend une introduction, un entretien, un portrait et des extraits. Un article critique, des chroniques sur une sélection d'ouvrages ainsi qu'un agenda complètent le numéro.

Couverture de la correspondance Pierre Bergounioux et Jean-Paul Michel
Édito

Édito octobre 2018. Par Nathalie Jungerman

Pierre Bergounioux et Jean-Paul Michel - Correspondance 1981-2017

Aujourd’hui, ces correspondances – lettres, cartes postales et courriels -, écrites entre 1981 et 2017 sont rassemblées en un volume publié aux éditions Verdier avec une préface de Pierre Bergounioux, des fac-similés et des photographies.

affiche du film : Ma Vie dans l’Allemagne d’Hitler de Jérôme Prieur
Agenda

Agenda octobre 2018

édition octobre 2018
Ma Vie dans l’Allemagne d’Hitler est une série documentaire de 2 x 52 minutes signée par Jérôme Prieur, créée à partir d’un corpus de manuscrits
Reproductions de lettres de Pierre-Bergounioux et Jean-Paul-Michel
Lettres et extraits choisis

Lettres choisies - Pierre Bergounioux et Jean-Paul Michel

édition octobre 2018
Mon cher Jean-Paul, L’entretien indécis que nous avons eu samedi matin a continué à me turlupiner. On ne peut plus, à notre âge, rester irrésolu quand il ne semble pas catégoriquement impossible d’être fixé.
Pauline Delabroy-Allard, photo
Lettres et extraits choisis

Extraits choisis - Pauline Delabroy-Allard, Ça raconte Sarah

édition septembre 2018
Je lui demande comment elle définirait la latence. Elle penche un peu la tête quand je lui explique que j’ai ce mot en surimpression sur les images de ma vie, qu’il ne quitte pas mon esprit, que je ne sais pas très bien pourquoi mais qu’il m’obsède