FloriLettres

FloriLettres est une revue littéraire, numérique et mensuelle créée en 2002 par Nathalie Jungerman pour la Fondation La Poste. Consacrée à l'écriture épistolaire, biographique et autobiographique, elle promeut les livres et les manifestations culturelles à travers un choix de correspondances, journaux personnels, essais, carnets, récits ou romans. Chaque édition offre un dossier sur un sujet particulier qui comprend une introduction, un entretien, un portrait et des extraits. Un article critique, des chroniques sur une sélection d'ouvrages ainsi qu'un agenda complètent le numéro.

photo de Jean Vilar avec un chat noir
Agenda

Agenda été 2023

édition été 2023
Des festivals pour cet été, à Grignan, en Normandie, en Vendée et dans l'Orne, ainsi que les résultats du concours des Petits Champions de la lecture 2023 et la sélection du Prix Envoyé par La Poste qui sera remis en septembre. Pendant le Festival d'Avignon, à la Maison Jean Vilar, seront lues tous les jours du 9 au 20 juillet, les lettres de Jean Vilar rassemblées par Violaine Vielmas dans Une biographie épistolaire.
Couverture du livre avec trois photos dont une de Daniel et de ses quatre vaches
Dernières parutions

Dernières parutions, édition été 2023. Par Élisabeth Miso et Corinne Amar

édition été 2023
Daniel Maroy, un fermier de quatre-vingt-quatre ans, a été assassiné chez lui, un soir de mars 2014, par des jeunes gens désœuvrés d’un village voisin. Les faits se sont déroulés à Saint-Léger en Belgique. Ces vingt dernières années, après le décès de ses parents et de son frère handicapé, la perte de ses terres, et un échec amoureux, le vieil homme s’était isolé, réservant ses marques de tendresse à ses quatre vaches.
Photo de Jean Vilar assis à son bureau
Portraits d’auteurs

Jean Vilar : Portrait. Par Corinne Amar

édition été 2023
« Il n’est pas possible de faire du théâtre le rond-point de quelques privilégiés. Le théâtre ne peut plus être pour une classe mais pour tous. Il faut qu’il y ait un théâtre au monde au moins, où le plus pauvre de citoyens se trouve chez soi et non pas en visite. » Voilà ce qu’exprimait Jean Vilar (1912-1971)
Brouillon de la réponse de Jean Vilar à une  déclaration de Sartre
Lettres et extraits choisis

Lettres choisies : de et à Jean Vilar

édition été 2023
J’ai toujours eu le désir de mettre à la scène une de vos œuvres. Et comme vous m’avez dit, au cours d’une très brève rencontre, que vous n’aviez guère le goût d’écrire pour la scène, j’ai pensé à adapter La Condition humaine, en employant tous les moyens que la scène permet ou exige
Photo couleur de Violaine Vielmas
Entretiens

Entretien avec Violaine Vielmas. Propos recueillis par Nathalie Jungerman

édition été 2023
Violaine Vielmas est doctorante au CÉRÉdi de Rouen. Sa thèse porte sur la dimension littéraire, artistique et autobiographique de la correspondance de Jean Vilar. Elle a rassemblé ces lettres, éparpillées dans différents fonds d'archives et pour la plupart inédites, afin de les regrouper pour la première fois dans un livre qui donne accès à une image plus complexe de Jean Vilar, moins linéaire et lisse que celle du mythe.
Couverture du livre avec photo de Jean Vilar en noir et blanc
Édito

Édito été 2023. Par Nathalie Jungerman

Jean Vilar, Une biographie épistolaire
Violaine Vielmas, doctorante, dont la thèse porte sur la dimension littéraire, artistique et autobiographique de Jean Vilar, a rassemblé dans un ouvrage, publié chez Actes Sud et soutenu par la Fondation La Poste, les lettres que le fondateur du Festival d’Avignon et directeur (de 1951 à 1963) du Théâtre National Populaire (TNP) a écrites et reçues. Ses correspondants sont des artistes, des écrivains et des personnalités politiques
Couverture du livre avec photo de John Steinbeck tenant une cigarette. Sur fond orangé
Édito

Édito mai 2023. Par Nathalie Jungerman

John Steinbeck, Les Lettres d'À l'est d'Éden

Les Lettres d’À l’est d’Eden sont en réalité un Journal que John Steinbeck tient au cours de l’année 1951, parallèlement à l’écriture de son dixième roman. Chaque jour de travail, il écrit « l’équivalent d’une lettre » à son ami et éditeur, Pascal Covici, que ce dernier ne « lira pas avant un an ». À l’est d’Eden paraîtra en 1952 chez Viking Press et sera adapté au cinéma par le réalisateur Elia Kazan. Le film sortira en 1955, avec James Dean, notamment, dans son premier rôle sur grand écran. Aujourd’hui traduit pour la première fois en français par Pierre Guglielmina et édité chez Seghers, ce Journal d’un roman – publié aux États-Unis en 1969 (Journal of a Novel, The East of Eden Letters), un an après la disparition de Steinbeck –, contient une postface du traducteur, une note de l’éditeur américain et la version originale de la dédicace d’À l’est d’Eden