![stéphane Mallarmé-Correspondance](/sites/default/files/styles/tiny_poster/public/medias/images/2019/07/stephane-mallarme-correspondance.png)
Édito février 2019. Par Nathalie Jungerman
« J’ai enfin commencé mon Hérodiade. Avec terreur car j’invente une langue qui doit nécessairement jaillir d’une poétique très nouvelle, que je pourrais définir en ces deux mots : Peindre non la chose mais l’effet qu’elle produit », confie Stéphane Mallarmé en octobre 1864 à son ami Henri Cazalis