FloriLettres

FloriLettres est une revue littéraire, numérique et mensuelle créée en 2002 par Nathalie Jungerman pour la Fondation La Poste. Consacrée à l'écriture épistolaire, biographique et autobiographique, elle promeut les livres et les manifestations culturelles à travers un choix de correspondances, journaux personnels, essais, carnets, récits ou romans. Chaque édition offre un dossier sur un sujet particulier qui comprend une introduction, un entretien, un portrait et des extraits. Un article critique, des chroniques sur une sélection d'ouvrages ainsi qu'un agenda complètent le numéro.

Couverture du livre, la parole est aux accusés
Articles critiques

La parole est aux accusés. Par Gaëlle Obiégly

édition septembre 2020
Entretiens, rédactions, dessins témoignent de tempéraments et d’histoires personnelles qui racontent une époque. C’est un livre aussi intéressant que beau. Il expose la surveillance qui s’est exercée sur la jeunesse dans les années 1950.
Couverture du livre de Dominique Fortier, Une vie de Dickinson
Articles critiques

Une vie d'Emily Dickinson de Dominique Fortier. Par Corinne Amar

édition septembre 2020
On connaît peu de choses de la poétesse Emily Dickinson (1830-1886). Une unique photographie connue la montre à seize ans, assise, le visage pâle et grave, un ruban de velours autour du cou, de grands yeux noirs, une raie partageant ses cheveux de part et d’autre
Photo de Boris VIan avec trompette, Harcourt, 1948
Portraits d’auteurs

Boris Vian : Portrait. Par Corinne Amar

édition septembre 2020

Il fut tout à la fois ingénieur diplômé de Centrale, trompettiste de jazz, acteur, chanteur, parolier, pasticheur de romans noirs américains, dessinateur et peintre, auteur de nouvelles et de pièces de théâtre, romancier.

Couverture du livre de Dominique Missika, Un amour de Kessel
Articles critiques

Dominique Missika, Un amour de Kessel. Par Corinne Amar

édition été 2020
« Fils d'émigrés russes d'origine juive, né en Argentine. Mon père est né en Lituanie, à l'intérieur de l'immense ghetto juif qui allait de la mer Noire à la Baltique. » C’est ainsi que Joseph Kessel se présentait aux journalistes
Couverture du livre de Yànnis Palavos, Blague
Dernières parutions

Dernières parutions, édition été 2020. Par Élisabeth Miso et Corinne Amar

édition été 2020
Ces dix-sept nouvelles – tantôt mini récits, tantôt journal ou faux journal, chroniques de la vie quotidienne – mêlant réalité et fantastique, et magnifiquement traduites, nous parlent de scènes de tous les jours à la campagne, dans cette Grèce rurale du Nord que Yànnis Palavos connaît bien.
Photo de Mariangela Roselli
Entretiens

Entretien avec Mariangela Roselli. Propos recueillis par Nathalie Jungerman

FLoriHebdo#12, 9 juin 2020
Mariangela Roselli est enseignante-chercheure en sociologie. Département de sociologie / Université Toulouse 2-Jean Jaurès. Laboratoire CERTOP/CNRS. Elle a observé le comportement des collégiens lors des ateliers d'écriture réalisés dans le cadre de « Réparer le langage, je peux ». Tous les résultats sont inédits et feront l'objet d'une thèse d'habilitation à diriger des recherches en sociologie, qui sera soutenue à l'automne 2020 à l'Université Toulouse 2-Jean Jaurès.
Photo de Sandrine Vermot-Desroches et de Alain Absire
Entretiens

Entretien avec Sandrine Vermot-Desroches et Alain Absire. Propos recueillis par Nathalie Jungerman

FLoriHebdo#12, 9 juin 2020
Sandrine Vermot-Desroches est romancière, administratrice au Prix du Jeune Écrivain et présidente de l’association « Réparer le langage, je peux ». Romancier, nouvelliste, auteur pour la jeunesse et essayiste, Alain Absire est administrateur de la Sofia, président du jury du Prix du Jeune Écrivain et du Prix des Postiers Écrivains. Il a été président de la SGDL de juin 2002 à juin 2010, dont il est toujours Sociétaire. Alain Absire est vice-président de l’association « Réparer le langage, je peux ».
Couverture du livre de Judith Schlanger, Ma vie et moi
Articles critiques

« Ma vie et moi » de Judith Schlanger. Par Gaëlle Obiégly

édition juin 2020
Le nouvel ouvrage de Judith Schlanger se demande si ma vie et moi, c’est pareil. La philosophe s’exprime à la première personne du singulier, dès la couverture. Et c’est pour mieux parler de nous tous, êtres humains. Et ce je qui est le sien et qui est le nôtre est « un milieu vital qui déborde de très loin l’état civil et le corps. »